Simon Barbarit

Simon Barbarit (1053)

Lille: First meeting of Renaissance with Valerie Hayer for the European elections
7min

Politique

Européennes : face à la très large avance du RN dans les sondages, le camp présidentiel adopte une stratégie de « diabolisation »

A trois mois des élections européennes, le RN continue de creuser l’écart avec le camp présidentiel, qu’il distance de plus de 10 points dans différents sondages. Les cadres de la majorité qui ont ce week-end, à Lille dépeint le RN, comme le « parti de l’étranger, de la 5ème colonne de Poutine », ne convainquent pas les électeurs pour le moment. Analyses des politologues, Luc Rouban, Olivier Rouquan et Gilles Ivaldi.

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FRA : SENAT : Allocution de Gabriel ATTAL
3min

Parlementaire

Guerre en Ukraine : comment va se dérouler le débat au Sénat ?

Mercredi 13 mars, le Sénat débattra de l’accord de sécurité franco-ukrainien et de la situation en Ukraine. En application de l’article 50-1 de la Constitution, le débat sera suivi d’un vote qui n’engagera pas le gouvernement. Mais après les propos controversés du chef de l’Etat évoquant « une intervention au sol », le scrutin sera scruté de près.

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Financiarisation du football : « Nous n’avons pas le droit d’intervenir dans le choix du fonds d’investissement retenu par la ligue », assure le conseiller sport de l’Elysée
6min

Société

JO 2024 : le dispositif de sécurité hors normes détaillé par Gérald Darmanin

Auditionné au Sénat sur le dispositif de sécurité entourant les Jeux Olympiques, Gérald Darmanin a annoncé une jauge de 326 000 spectateurs pour la cérémonie d’ouverture, soit l’équivalent de 4 stades de France, auxquels il faudra ajouter, 50 000 personnes dans les fanzones parisiennes et 200 000 personnes qui suivront l’évènement depuis les immeubles donnant sur la seine.

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Paris: The senate vote on an amendment of a government plan to enshrine the « freedom » to have an abortion in the French Constitution
4min

Société

IVG dans la Constitution : qu’est-ce que ça va changer ?

Députés et sénateurs réunis en Congrès s’apprêtent à réviser la Constitution pour y inscrire la liberté d’avoir recours à une IVG. Pendant les débats parlementaires, une partie des sénateurs de droite s’est inquiétée de voir inscrit dans le texte fondamental, l’expression « liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ». Quels seront les effets de cette révision constitutionnelle ?

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Financiarisation du football : « Nous n’avons pas le droit d’intervenir dans le choix du fonds d’investissement retenu par la ligue », assure le conseiller sport de l’Elysée
1min

Société

IVG dans la Constitution : le Sénat adopte très largement le projet de loi

C’est historique. 50 ans après la loi Veil, le Sénat a très largement d’adopté le projet de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution par 267 voix contre 50. Il s’agissait de la dernière étape avant la convocation du Parlement en Congrès pour procéder à la révision de la Constitution. Le Congrès se tiendra lundi 4 mars à 15h30.

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FRA : SENAT : Allocution de Gabriel ATTAL
7min

Société

IVG dans la Constitution : la droite sénatoriale joue-t-elle la montre ?

A deux jours de l’examen du projet de loi, au Sénat, visant à inscrire l’IVG dans la Constitution, le suspense reste entier quant à l’issue du scrutin. Si une bonne partie de la droite sénatoriale ne s’oppose plus frontalement à la constitutionnalisation de l’IVG, elle conteste la rédaction proposée par le gouvernement. Deux amendements LR seront examinés en séance. Si l’un d’eux était adopté, la révision constitutionnelle serait retardée.

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Paris : QAG au Senat
3min

Société

IVG dans la Constitution : la droite sénatoriale veut ôter le mot « garantie » du texte

A quelques minutes du dépôt final des amendements au projet de loi constitutionnelle visant à inscrire l’IVG dans la Constitution, un nouvel amendement va être déposé par la droite sénatoriale. Il vise à ôter le mot « garantie » à la phrase « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ». La droite craint des effets juridiques « dangereux ».

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