Politique
Budget 2026 : Sébastien Lecornu annonce un gel des dépenses qui dépendent de Matignon
Le Premier ministre annonce une stabilité des moyens de fonctionnement pour les administrations et services placés sous la responsabilité de Matignon.
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Par Public Sénat
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Christophe Borgel, le président du Comité national d'organisation de la primaire élargie du PS, a plaidé mardi pour un rassemblement du "camp progressiste", qui va selon lui de Benoît Hamon à Emmanuel Macron, pour le premier tour de la présidentielle.
"Dans une dynamique de premier tour, il est clair que si on n'a pas au minimum ce rassemblement de la gauche social-réformiste, progressiste, les chances d'arriver au second tour de l'élection présidentielle sont totalement inexistantes", a mis en garde M. Borgel sur Radio Classique.
"Une fois que la primaire sera passée", "je crois qu'à un moment donné, l'ensemble de ceux qui veulent autre chose que le programme de M. Fillon ou celui de Mme Le Pen seront obligés de trouver un chemin de rassemblement", a-t-il affirmé. "Au moins pour la partie de ceux qui ont gouverné, et qui choisissent cette gauche qui veut gouverner, qui va pour moi de Hamon à Macron".
"Je ne mets pas Jean-Luc Mélenchon là-dedans, même si, à la fin, il faudra élargir ce rassemblement", a-t-il précisé.
Jean-Luc Mélenchon, comme Emmanuel Macron, ont refusé de prendre part à la primaire organisée par le PS.
Manuel Valls, qui a revendiqué se situer "au coeur des progressistes", les a quant à lui définis d'Emmanuel Macron à Arnaud Montebourg.
Arnaud Montebourg a pour sa part promis, s'il gagne la primaire, de se tourner immédiatement vers Jean-Luc Mélenchon et le candidat EELV Yannick Jadot pour leur proposer un accord de gouvernement.